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Photo du rédacteurÉmilie Viens

UNE PÉRIODE DE RÉFLEXION S'IMPOSE

Cela fait maintenant 3 mois que la crise a éclaté. La vie, bien qu'elle ne redeviendra plus jamais comme elle l'était auparavant, semble toutefois vouloir reprendre un semblant de normalité avec le confinement qui se fait moins rigoureux que dans les semaines précédentes. Nous venons de vivre trois mois complètement différents de ceux que nous avions prévus. La réalité qui nous a soudainement été imposée nous a tous marqué, d'une manière peut-être plus profonde et brutale pour certains, mais même si elle n'a pas trop chamboulé votre vie, elle y a certainement laissé des traces.



Je crois qu'il est temps de prendre une pause et de s'accorder un temps de réflexion. Pour ma part, je trouve important de le faire parce qu'autrement, c'est comme si toute cette crise sanitaire (et la crise économique qui s'en suivra !) n'auront servi à rien. N'allez pas mal interpréter mes propos, mais où je veux en venir, c'est de se questionner sincèrement.


Conseil de planificatrice : prenez 10 minutes pour réfléchir aux trois questions suivantes.
  • Qu'est-ce que le confinement et les impacts de la pandémie ont eu sur ma vie ces trois derniers mois ?

  • Qu'est-ce que j'ai appris de cela ?

  • Qu'est-ce que je compte faire pour la suite ?

Vous pouvez choisir de faire comme la plupart des gens et de continuer sans trop vous poser de questions en vous laissant guider par la société, ou vous pouvez aussi faire le choix conscient de prendre un pas de recul et de sérieusement réfléchir aux trois questions présentées ci-dessus.


L'histoire est loin d'être terminée et bien que je n'en connaisse pas le dénouement, c'est le temps de changer le cours des choses si vous n'êtes pas complètement satisfait de la façon dont vous avez géré les derniers mois. Il est encore temps. C'est le temps.


Pour ma part, depuis le tout début, j'ai choisi de vivre cet événement historique avec optimisme, malgré la noirceur. Les médias et la plupart des gens se sont chargés de cultiver cette bien triste réalité, donc avec une réelle intention de positivisme, et peut-être un peu de naïveté, je regardais devant, j'appréciais les petits bonheurs que la vie continuait de m'offrir et je n'ai jamais arrêté de garder espoir. J'ai moi aussi vécu des périodes de peur face à l'incertitude et quand mon anxiété avait envie de jaillir pour gérer la situation, je reprenais doucement les reines de ma vie en contrôlant tout ce que je pouvais, dont entre autres et surtout, ma consommation des médias et ma présence sur les réseaux sociaux.


Alors, trois mois plus tard, où vous situez-vous réellement ?

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